Un groupe de combattants de la milice Anti-balaka a attaqué le quartier musulman PK5 et blessé plusieurs personnes. Déjà, fin septembre/début octobre, des violences avaient éclaté dans la capitale centrafricaine.
Selon un bilan des Nations Unies, près de 30 000 personnes, se retrouvent dans les camps de déplacés éparpillés dans la ville. Notre correspondant à Bangui, Benjamin Baramoto, s’est rendu dans un de ces camps, qui s’était vidé il y a quelques mois. Il a pu constater les dures conditions de vies des nouveaux occupants.