Les 61 nations qui ont participé au Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle (IA) de Paris se sont engagées en faveur d'une intelligence artificielle "ouverte", "inclusive" et "éthique".
Cependant, deux pays n'ont pas signé la déclaration pour une intelligence artificielle "durable pour les populations et la planète" publiée à l’issue du Sommet pour l’action sur l’IA à Paris. Il s'agit des Etats-Unis et du Royaume-Uni.
À la veille du sommet, le 9 février 2025, le président français a annoncé un montant de 109 milliards d’euros d’investissements "privés français et étrangers" pour des projets de développement de l’IA, "dans les prochaines années". Les Emirats arabes unis et le Canada ont annoncé leur participation.
Sous l'Arbre à palabres aujourd'hui, nous allons revenir sur les principales annonces du dernier sommet consacré à l'Intelligence artificielle. Nous reviendrons aussi sur les avantages et les inconvénients de l'Intelligence artificielle et sa viabilité dans les pays africains.
Je reçois trois invités:
- Karine Oriot, journaliste indépendante.
- Qemal Affagnon, enseignant-chercheur et coordinateur de l'ONG Internet sans frontières en Afrique de l'Ouest.
- Deve Maboungou, président de Noeîn & Cie, cabinet de conseil en Intelligence économique, protection des entreprises et relations internationales et directeur de cabinet de la Maison de l’Afrique, agence d’intelligence stratégique pour l’Afrique.
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