La situation demeure préoccupante au Burundi malgré le nouvel ultimatum de cinq pour désarmer lancé par le président Pierre Nkurunziza. La nuit d’hier, des tirs se sont, encore faits entendre dans la capitale Bujumbura.
Le message du président a été précédé de celui du président du sénat qui selon des sources concordantes avait lui aussi appelé à réprimer ceux qui ne déposeront pas les armes. L’analyse de Pascal NIYONIZIGIYE, il enseigne les Relations internationales à l’Université de Bujumbura.
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