Après quelques jours de négociations, parfois suspendues, les différents acteurs de la crise en République centrafricaine ont annoncé la signature à Brazzaville d'un nouvel accord. Celui-ci devrait ouvrir la voie à d'autres discussions, notamment sur le principe du désarmement des ex rebelles Seleka et des combattants des milices Anti-balaka.
Malgré la signature de l'accord de Brazzaville, les craintes d'une poursuite des violences en Centrafrique restent nombreuses. Certains responsables de l'ex rébellion Seleka exigent une scission du pays, signe d'une opposition aux résultats des négociations.